Sam est une série, dessinée par Jan Bosschaert, que j'aimais bien étant adolescent (j'avais un faible pour les filles en salopette). Elle n'a connu que 6 albums (dur à trouver) en français, mais à présentement 11 albums dans l'autre langue de Belgique. Mon fan-art a la particularité d'être souvent confondu pour une oeuvre de l'auteur original puisque je le retrouve souvent mélangé à d'autres sites réunissant ses illustrations. Pourtant, avec les couleurs affreuses que j'ai utilisé, la confusion est dur à expliquer, et en plus ma signature est assez grosse, non?

Bosschaert sur Wikipedia

Une dédicace d'André Joy, alias André Gaudelette, en remerciement d'un travail de couverture qui n'a pas abouti. Je ne connaissait pas l'auteur de p'tit Joc, Judy et Jojo des rues avant ce travail. Il faut dire qu'il a eu le plus gros de son succès dans les années 60-70. Il continue à publier et ses albums sont plus ou moins faciles à trouver dépendant des séries. Au Québec, il faut faire un tour chez Débédé pour en trouver.

Je reviens tout juste du Salon du livre de Montréal. Comme d'habitude, j'ai accumulé quelques dédicaces, quelques objets idiots (comme une statue d'une bonne soeur en sous-vêtements) et des sacs pleins de bandes dessinées provenant de la demi-douzaine de librairies que je fouille à chaque visite. Ah!! Et Requin m'a fait une histoire résumant assez bien nos rencontres. La toute première rencontre vaudrait aussi la peine d'être racontée... Et aussi la fois où je l'avais été à déménagé...  Et aussi la rencontre où j'étais sur les médicaments... Et...

Un petit mot pour dire que je serais au Salon du livre de Montréal. Je suis avec Karine Church, du vendredi 20 au lundi 23 novembre, pour dédicacer des Wallaby, des Imagination et des Fish Lecan.

Toute la programmation et mes heures sont indiqués sur le site officiel. Mais cela ne me dérange pas de dédicacer si vous m'appercevez au Salon en dehors de ces heures.

Un dessin pour illustrer -je ne sais quoi-. Je n'avais que deux heures pour le faire, alors je l'ai réalisé seulement sur mes automatismes, un prof avec de grosses espadrilles qui ressemble à Passe-Pas, un étudiant qui ressemble à Imagination, quelques courbes pour remplacer les lignes droites... 

Cette case est extraite de Fish Lecan #5 : Maria Dorfinkley et les chats de la Colline du Parlement. J'y ai mis un point d'honneur à ce que tous les décors extérieur soit véridiques. Ici, Fish est devant le parking du Centre Rideau. Pourquoi je vous en parle...? Et bien c'est qu'en me basant sur de vrais décors, je m'aperçois que la majorité change plus vite que l'on ne le pense, ou alors que j'ai un don pour choisir les bâtiments qui se feront démolir prochainement (mon appareil-photo est-il maléfique?). Ce parking a été reconstruit récemment mais l'endroit en général est toujours reconnaissable. 

En passant, les figurants à droite sont Alix et Xavier Pilon, deux personnages de bande dessinée des défuntes revues québécoise Titanic et Croc.

J'ai réalisé le concept et l'illustration de cette affiche 12X24 d'après le slogan que l'Agence de la santé et des services sociaux de l'Outaouais m'a indiqué. Ils voulaient clairement un dessin dans mon style absurde, coloré avec des détails à découvrir quand on regarde l'affiche plus attentivement. Au départ, le personnage centrale devait ressembler à Énergie Lachance comme le montre le crayonné initial.

Malheureusement, les responsables voulaient un personnage central mâle, vu que le problème est beaucoup plus masculin (le malheur se fout de la discrimation). J'ai apporter les modifications mais on peut quand même reconnaitre des dérivés de Naline Andrée, Mitaine et moi dans les personnages secondaires.

Tout ce qui est mentionné dans ce strip est, non seulement véridique, mais aucunement exagéré. J'habite vraiment près d'un des seuls rond-point au Québec où les chauffeurs québécois font preuve d'une incroyable habileté à démontrer leur incompétence à conduire. J'apperçois facilement un à deux accidents par semaine. Il y a des feux de signalisations déracinés, des poteaux défoncés, des sorties de routes directement dans des murs de bétons, mais aucun mort. Bref, j'ai appris à ne plus m'en faire et c'est même rendu une source de divertissement. M'amuser des gens qui s'engueulent à ces accrochages est un moyen de défense contre ce stress.